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Photographe ostréiculture
L’intérêt de réaliser ce reportage photo dans les parcs à huîtres de la région normande était que les spectateurs se rendent bien compte du travail physique nécessaire pour travailler dans la culture ostréicole. Ce difficile travail est commun, quelle que soit la région, que ce soit en Vendée, Normandie, Charente-Maritime, Gironde ou en Méditerranée. Il est difficile pour les exploitants ostréicoles de trouver du personnel qualifié ou qui est partant pour travailler dans des conditions parfois difficiles et physiques.
Photographe ostréicole
La difficulté pour le photographe sur ce type de reportage photo professionnel, c’est de pouvoir utiliser son matériel photo et le confronter à l’humidité liée à l’eau de mer. En effet, on a bien souvent des projections d’eau de mer à cause des vagues ou lors du transport en tracteur sur la remorque ou en marchant dans l’eau entre les bancs. J’ai dû également faire très attention au sable, à la vase, car lorsque l’on monte ou quand on descend du tracteur, on touche des zones pas toujours propres et on a facilement les mains sales, ce qui n’est pas bon pour manipuler le matériel photo derrière. Il faut s’organiser et avoir une serviette éponge sur soi pour s’essuyer et se sécher les mains.
Photographe culture de l’huître
Il y a un très gros pic d’activité avec les fêtes de Noël pour les ostréiculteurs, c’est quasiment le chiffre de l’année. Ils ont eu également des problèmes avec des virus qui décimaient la population d’huîtres et le souci actuel, c’est un petit crustacé qui vient percer la coquille de l’huître pour s’en nourrir, le bigorneau perceur. Donc pour essayer de contrer ce problème de bigorneaux, l’ostréiculteur utilise des poches avec des mailles plus serrées pour bloquer une partie de ces prédateurs, mais il y en a toujours qui arrivent à passer. La culture de l’huître demande beaucoup d’entretien et d’actions dans les parcs avant qu’elles n’arrivent dans nos assiettes.
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